Reporterre révèle : Le 8 septembre dernier, Emmanuel Macron prenait le micro devant les étudiants d’un lycée professionnel de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) dans le cadre de « L’égalité des chances ». Derrière son masque, il déroulait son texte quand, soudain, ce fut le drame : « Pardon je m’étrangle », toussa-t-il. Il tenta de reprendre son discours, mais sa voix tangua et la quinte de toux revint : « Donnez-moi un masque peut-être plus léger. Je vais mettre un masque plus léger parce que j’ai dû absorber un truc du masque. »
L’Éducation nationale aurait distribué des masques contenant une substance toxique aux enseignants pour les protéger de l’épidémie de Covid-19. Le produit en cause ? Le zéolithe d’argent, un traitement antimicrobien appliqué sur le masque par le fabricant. Une substance qui présenterait bien un danger pour l’utilisateur lors d’un usage prolongé des masques.
Peu efficace face au virus, ce masque contient un biocide toxique, la zéolithe d’argent. Celui-ci est indiqué comme agent de traitement sur l’emballage. La zéolithe d’argent est à la fois dangereuse pour l’environnement, mais également pour la santé.
Au vu des remontées, on sait maintenant que les masques DIM traités à la zéolite de cuivre et d’argent ont été distribués aux professeurs, policiers, personnels de la Justice et des Préfectures. Pour l’instant, seul le ministère de l’intérieur a donné instruction d’en cesser l’usage.
L’élargissement de cette affaire aux policiers, aux préfectures et à la justice risque fait de faire du bruit. Dans l’enseignement, plusieurs collectifs et syndicats ont d’ores et déjà appelé à agir rapidement face à ces révélations.
Interrogé par les médias le gouvernement reste pour l’instant de marbre.
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