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Santé environnementale, l’étoile noire invisible à l'oeil nu

Les Néonicotinoïdes, la boîte de Pandore est ouverte.

L’invisible s’impose à l’homme, l’invisible est une réalité, une dimension dans laquelle se meut chacun des hommes composant l’humanité entière.

L’invisible, nous le vivons à nouveau avec cette pandémie du Covid-19, avec ces torpeurs, ces fantasmes, son coût abyssal. L’invisible est autour de l’homme comme un milieu qui enregistre chacune de ses actions terrestres, la santé environnementale est l’une de ses résultantes, nous devons en prendre conscience dans nos politiques, dans nos institutions en partenariat avec les acteurs privés, associatifs, avec les nombreux chercheurs, privés, publiques, avec les nombreux talents de nos territoires. La santé environnementale est l'affaire de tous.

Qui n’est pas impacté dans sa famille, parmi ses amis, de femmes, d’ hommes, d’enfants atteints de maladies chroniques ? Qui ?

Cancers, Obésité, Diabète, sont des maladies qui ont permis au Covid-19 de tuer des milliers de concitoyens à travers le monde, sans distinction d’âge.

Nombreux facteurs aggravant parmi tant d’autres, les perturbateurs endocriniens, les pesticides.

Des milliards de Dollars dépensés pour panser les maux, la dictature du curatif à tout-va. 

Il a fallu que des dirigeants de grands pays soient ou bien furent infectés par ce virus avec ces mêmes traits de comorbidités, pour créer une conscience unanime, un consensus, pour que « la santé environnementale soit une priorité du XXIe siècle ». 

Imaginez, si la recherche préventive avait été une priorité des États depuis une décennie, des milliers de vies sauvées, des générations allégées de ces dettes curatives.

Mais la conscience citoyenne peut-être différente du politique.

De trop nombreux freins, inconscients ou bien volontaires, de la part de certains politiques et des politiques publiques, d’institutions régaliennes, sur cette recherche préventive sur la santé environnementale.

Le terme socio-économique a bon dos. 

C’est un refus d’une certaine vision politique passéiste, opaque, partisane, formaté, refus qui se borne à la vision technocrate prônant la centralisation, le régalien dans toute sa splendeur sur un sujet d’intérêt de santé publique, d’intérêt général.

Pour ce figisme absolu, l’intérêt insufflé par certains politiques dont Sandrine Josso, Députée de Loire-Atlantique que j’accompagne dans ce dur combat, avec de nombreux citoyens, de nombreuses victimes, n’est plus, je m’interroge, ils s’interrogent sur la réelle volonté de certains politiques pour que la santé environnementale soit considérée comme une nouvelle science, une nouvelle matière d’éducation, un réel virage pour notre environnement, pour notre société.

Et pourtant, les solutions existent et elles viennent de nos territoires.

Pour preuve que de sous-estimer la santé environnementale et ses facteurs seraient une erreur indélébile :

une tribune, récente de 50 associations et collectifs demandent que les personnes atteintes de maladies chroniques puissent bénéficier d’arrêts dérogatoires avec droit au chômage partiel, puis des cas avérés d’agrégats de cancers pédiatriques, d’enfants nés sans bras, la disparition de milliers d’espèces animales, de milliers d’espèces végétales, des rivières, des nappes phréatiques, des mers et océans, des sols, des terres, et des airs pollués aux effets cocktails explosifs pour notre santé et notre environnement.

L’invisible tue, regardons l’invisible, l’Europe, la France doivent être précurseurs, j’en appelle aux dirigeants dont le Président, Emmanuel Macron, qui dans son programme de candidat de 2017 sur la transition écologique a inscrit l’objectif 4, soit la santé environnementale, comme un objectif prioritaire.

Il est URGENT DE PRENDRE des décisions pour nous protéger et protéger notre environnement, notre planète !

La santé environnementale genèse est un sujet sérieux et ne doit pas être un outil de communication marketé mis en tête de gondole de l’hypermarché de l’écologie, de l’écologie politique pour être plus précis qui est devenue une affiche trop prégnante en jachère depuis un demi-siècle. 

La France et l'Union européenne doivent s’inscrire comme des précurseurs dans la recherche préventive et environnementale sinon d’autres prendront le pas. 

À ce titre, sur le sujet du moment, je suis CONTRE cette mise SUR LE MARCHÉ DE CERTAINS PRODUITS PHYTOPHARMACEUTIQUES, les néonicotinoïdes, mais en demandant un accompagnement, des formations, sur des alternatives qui existent, de tous les acteurs industriels et agriculteurs pour faciliter la transition écologique.

La maxime : « La santé environnementale est une priorité du XXIe siècle. »

Auteur : Tribune de Frédéric Baron | 09/10/2020 | 1 commentaire
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Vos commentaires

#1 - Le 10 octobre 2020 à 16h41 par Nedjar, La Baule
Bonjour
Oui il est vrai la santé environnementale est une priorité et l'inégalité social des gens , il faut vraiment que Monsieur le Président Macron réagisse !! Et en fasse une priorité ou sinon le futur de nos enfants de notre planète aura un impact irréversible !!..

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