Le parti du président a annoncé qu’il sera présent aux élections, mais pour l’instant ne dit pas s’il aura des candidats dans 21 cantons du Maine-et-Loire. Une probabilité qui paraît difficile.
En juin prochain se tiendront les élections départementales. La République en Marche entend y porter de nouveaux visages pour une nouvelle voie, loin des clivages anciens, en vue d’appliquer un programme ambitieux, innovant et co-construit avec les acteurs locaux et les citoyens.
« Quelles priorités pour le département ? Quelle ambition pour aider les personnes modestes à baisser leurs factures parfois exorbitantes d’électricité ou de gaz ? Quelle ambition en matière de protection de l’enfance ? Quelle politique en matière d’insertion ? De réussite scolaire ? »
Autant de questions auxquelles la République en Marche entend apporter des réponses claires.
« Nous porterons une vraie ambition pour notre département. Le département a un rôle primordial à jouer dans le soutien à nos habitants et nos territoires ainsi que dans l’accompagnement de la relance de notre pays. Pour cela, il faudra apporter des solutions rapides, innovantes et efficaces » explique Simon HOLLEY, référent de la République en Marche dans le Maine-et-Loire.
La déclinaison locale du plan national contre la pauvreté, la mise en place d’expérimentations en matière sociale, l’aide à la rénovation énergétique, l’aide au maintien à domicile des personnes dépendantes, l’accompagnement des aidants mais encore l’expérimentation de projets éducatifs innovants pour lutter contre le décrochage scolaire, le soutien au patrimoine des communes, le renforcement des coopérations avec les autres collectivités dans une logique d’alliance des territoires… Voilà quelques-uns des sujets que nous porterons.
Notre projet sera ambitieux. Il s’ancrera surtout sur une volonté sans faille de renouvellement total des pratiques et des méthodes du département. Les associations, les élus locaux et les citoyens en général doivent être au cœur du projet départemental mais au-delà, au cœur de son application concrète sur le terrain. « La gestion discutable de la protection de l’enfance dans le Maine-et-Loire [les acteurs s’en inquiètent d’ailleurs à juste titre] ou encore la proposition non concertée de fermer le collège de Yolande d’Anjou à Saumur sont les signes d’un manque de concertation avec la population et ses élus. Il y a une déconnexion avec les réalités de nos territoires. Cette méthode n’est pas la nôtre. » précise Simon HOLLEY. Plus de concertation, plus de co-construction des projets, plus de représentativité de tous les coins de notre territoire. Voilà la méthode que nous porterons, sans concession possible sur notre exigence d’ouverture et de dialogue.
La République en Marche est née en 2016 d’une volonté forte des Français de dépasser les clivages. Fidèle à notre ADN, nous porterons de nouveaux visages pour proposer de nouvelles idées dans un renouvellement profond des pratiques. « Notre ambition est claire et nous nous donnerons donc les moyens de la mettre en œuvre en présentant de nouveaux visages capables de porter un tel projet en collaboration avec tous ceux qui, candidats sortants ou non, se retrouvent dans cette dynamique » précise Simon HOLLEY.
