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Les éoliennes de Noirmoutier-Yeu et le Conseil d'Etat

Le groupe Rassemblement National à la Région vient de prendre une position concernant l'éolien. Ces derniers dénoncent une rentabilité douteuse, pour des décisions qui ne sont que politiques.

Le Conseil d'Etat, qui est la plus haute autorité administrative de notre pays, ne peut juger qu'en droit. Cela signifie qu'il ne peut que répondre à une question qui lui est posée que sur sa conformité par rapport à nos règles de droit.

D'où viennent ces règles de droit ?

Essentiellement de nos lois, votées par notre parlement, qui sont quelquefois affinées par la « jurisprudence » Si la question est posée dans un cadre juridique existant, comme celui du droit de l'environnement, le Conseil d'Etat va regarder si les actions contestées par les demandeurs sont ou non conformes à ce droit. 

En l'espèce, pour les champs d'éoliennes, les projets sont probablement conformes à ce droit. L'arrêt  rendu est donc fondé.

Mais le véritable problème posé par ces éoliennes n'est pas un problème de droit, mais un problème de production d'énergie et de rentabilité. Lorsque le projet tel qu'il est présenté donne une capacité de production électrique, il s'agit en réalité d'une puissance et non d'une quantité. La puissance totale installée sera de 496 mégawatts, et c'est une puissance nominale, c'est à dire la puissance que peut fournir l'installation.

Pour la production d'énergie, celle-ci dépend de l'intensité du vent, tout en comme en dépendaient nos bons vieux moulins à vent. Sauf que les impératifs ne sont pas les mêmes. Dans les temps jadis, le meunier disposait d'un certain temps pour moudre le blé qu'on lui apportait et ce n 'était pas à une semaine ou deux près.

Pour les éoliennes, grosse différence. Pas de vent, pas de kilowatts/heure (unité de production) donc pas de vente et pas d'apport au réseau. Et malheureusement le vent est capricieux, ce qui rend la production aléatoire. Et il existe de nombreux arguments fondés qui remettent en question l'utilisation de l'éolien. Malheureusement, ceux-ci ne sont pas recevables en droit dans l'état, ce qui rend la situation quelque peu ubuesque. S'il n'y a pas de vent, personne ne peut être déclaré responsable. Le contribuable en paiera le coût et subira les inconvénients. Ce sont avant tout des décisions politiques et personne ne pourra demander à terme à ceux qui les ont prises d'en rendre des comptes.

Hélas, la loi ne prévoit pas que ceux qui engagent des fonds publics dans des démarches qui se révèlent non rentables puissent être poursuivis s'ils sont de bonne foi (ce qui est toujours le cas)  et ils n'ont aucune sanction à craindre. 

Ce sera donc aux électeurs de juger, le moment venu...

Groupe RN à la Région Pays de la Loire

24/08/2019 | 18 commentaires
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Vos commentaires

#1 - Le 25 août 2019 à 00h23 par Lemere
Etes vous vous meme de bonne foi ? Qui ne proposez pas d'alternatives!
Que le vent ne souffle pas un moment a un endroit, certes, mais compte tenu de la configuration du territoire francais,
que le vent ne souffle nul part et tout le temps est impossible et vérifiable. C'est donc bien en multipliant les champs éoliens, dans le respect des règles actuelles, que le côté aléatoire sera annihiler.
Ne pas reconnaître cet etat de fait,
Ce serait pour sûr etre de mauvaise foi.
#2 - Le 25 août 2019 à 11h18 par jean goychman, Guerande
Il y a longtemps que le groupe RN au Conseil Regional propose une alternative. Il s'agit de redéployer le nucléaire en accélérant les travaux de Gerard Mourou, chercheur français qui a reçu, avec la Canadienne Dona Strickland, le prix Nobel de physique en 2018 pour avoir reussi une transmutation de déchets radio-actifs avec un laser tres haute énergie développé par Thalès.La période de radioactivité résiduelle a été ramené de plus d'1 millions d'années à moins d'une demi-heure...
J'ai de la doc si vous voulez
#3 - Le 26 août 2019 à 12h14 par breizh44, Pornichet
M. Goychman – comme très souvent chez vous et vos copains du FN, vos propos manquent de sérieux. Commençons par l’article : Selon le FN l’éolien n’apporte pas de solution parce que le vent souffle de façon aléatoire. C’est précisément pour cette raison qu’on développe l’éolien offshore. Il est beaucoup plus rare de manquer de vent en mer qu’à terre. Le vent en mer est bien plus constant.
La « solution » que vous présentez pour les déchets nucléaires est à ce stade une théorie intéressante, mais à des années-lumière d’une application industrielle.
#4 - Le 26 août 2019 à 17h04 par jean goychman, Guerande
Breizh44 Ce n'est pas le RN qui le dit mais les statistiques. J'ai vu les éoliennes apparaitrent par milliers au sud de San Francisco dans les années 80 Qu'en reste-t-il aujourd'hui? J'ai vu ensuite les montagnes du nord de l'Espagne se couvrir des mêmes machines, encore plus grandes. Pour quels résultats, après plus de 20 ans? Croyez-moi, l'avenir n'est pas dans l'éolien.
En ce qui concerne l'avenir du nucléaire, vous devriez creuser un peu les choses et je ne doute pas que vous rejoindrez mon point de vue
Juste un petit lien afin que vous ayez le plaisir de denoncer une fakenew
lepetitrapporteurdunet.unblog.fr/2014/08/28/le-grand-mensonge-14-000-eoliennes-abandonnees-aux-usa/
#5 - Le 27 août 2019 à 09h33 par breizh44, Pornichet
M. Goychman – Quand je vois sur le site mentionné tout de suite à côté de l’article sur les éoliennes un autre sur le Chemtrails ... le décor est planté.
Les parcs d’éoliennes soit-disant abandonnés furent installés au début des années 80. Ils arrivent tout simplement en fin de vie. Et avec un président qui favorise le charbon, peu de chances que les investissements dans leur renouvellement soient accordés.
En ce qui concerne le nucléaire, il n’a pas d’avenir. Je ne suis pas un intégriste anti-nucléaire et je trouve par exemple aberrante la décision allemande après Fukushima d’arrêter des centrales avant qu’elles arrivent en fin de vie et par le même coup d’augmenter la production électrique au charbon. Mais il y a trop de risques et de problèmes liés au nucléaire pour qu’on continue à promouvoir cette technologie. L’argument de l’électricité peu chère est une légende. Si le consommateur devait payer le vrai cout sur toute la durée de vie (y compris le démantèlement des centrales nucléaires), le prix du kwh serait bien plus élevé. Du coup il payera avec ses impôts.
#6 - Le 27 août 2019 à 10h16 par Lemere
M. Goychman

On parle ici de l'éolien en mer.
San Francisco, c'est du terrestre et allez voir sur Google earth leur nombre à encore augmenté depuis .
Regardez aussi du côté de Palm Spring Calfinornie, vous serez surpris.
De plus les recherches actuelles sur l'hydrogène montre que grâce aux énergies renouvelables , Il va devenir possible d'utiliser l'énergie produite et non consommée pour la production de l'hydrogène qui elle se stocke. Le tout sans augmentation des GES.
Pour l'utilisation des recherches du prix Nobel cité , comme le dit Breizh44 , on en est encore qu'aux balbutiements de laboratoire.
Je n'ai rien trouvé á part la fiche Wikipedia sur les travaux du chercheur, que je ne remets pas en cause.
#7 - Le 31 août 2019 à 10h34 par jean goychman, Guerande
Lemere: Même D Bussereau le dit
Je cite "La fédération Environnement Durable"
"
Merci de signer et de relayer massivement à tous vos amis et vos relations ces 3 pétitions pour sauver la France des promoteurs éolien, des "sans foi ni loi comme les appelle Dominique Bussereau président du département de la Charente maritime . Honte aux élus et au gouvernement et à tous ceux qui cautionnent ce ravage systématique
Jean-Louis Butré
Pdt de la fédération Environnement Durable
Vous me repliqurez certainement que ces gens ne sont pas fiables ou font partie d'un lobby petrolier...

Pour les travaux de G Mourou, je ne sais pas ce que vous appelez "balbutiements"...
#8 - Le 02 septembre 2019 à 13h52 par Lemere
@M. Goychman
Mais Il n'est pas question que je vote pour un arrêt de l'éolien en France.
Je ne dirai pas non plus que tous les opposants sont des lobbyistes du nucléaire ou du pétrole.
J'affirme simplement que face au GES seuls l'éolien et le voltaïque sont en mesure d'apporter un début de réponse, je parle en "renouvelable " bien évidemment. Je vais jusqu'à dire que tant qu'on est pas au niveau, il ne faut pas arrêter le nucléaire existant. ( mais ne pas en construire d'autres)
Et á l'heure où l'énergie produite par l'éolien ou le voltaïque pourrait de plus participer à l'avènement de l'hydrogène, je dis accélérons le mouvement.
Pour les "balbutiements " c'est une expression qui dans le cas signifie qu'on est loin très loin des applications industrielles.
#9 - Le 02 septembre 2019 à 18h35 par jean goychman, Guerande
@M. Lemere
J'avais bien compris que vous étiez "accro" à l'éolien. C'est votre droit. Cela dit, jetez un simple coup d'oeil sur les rendements et surtout le prix de revient...
En tant qu'ancien ingénieur aero, c'est surtout ces aspects du problème qui m'ont conduit à regarder cela de plus près il y a quelques années.
On a l'impression d'avoir trouvé une sorte de solution miracle, surtout poussée en avant par quelques politiciens qui voit dans une lutte contre un changement climatique (la belle affaire, le climat de la planète a toujours évolué, pour de multiples raisons sur lesquelles l'Homme n'a pas de prise, du moins les principales)
Scientifiquement et techniquement, je préfère le nucléaire, qui est d'ailleurs à l'origine de toute l'énergie reçue par la Terre à ce jour.
Je ne pense pas que ces moulins à vent des temps modernes marquent un grand progrès...
Beaucoup de gens commencent à se poser des questions:
https://www.breizh-info.com/2018/01/11/86193/eoliennes-participatif
#10 - Le 03 septembre 2019 à 10h51 par breizh44, Pornichet
M. Goychman – lemere ayant visiblement baissé les bras devant tant de contre-vérités je me permets de reprendre le relais, bien décidé de vous démasquer à chaque fois que vous sortez des sottises avec votre propagande FN. Personne n’a jamais dit que l’éolien était LA solution à tous les problèmes. C’est UNE technologie (qui marche) parmi plusieurs pour convertir la production énergétique vers le zéro carbone. Le nucléaire aura encore son rôle à jouer, surtout en France, pendant quelques années. Mais voir ci-dessus pour ma position concernant cette technologie sans avenir. Vous vous démasquez enfin comme climato-sceptique, on s’en doutait de toute façon. Vous savez très bien (en tout cas vous pourriez savoir, expert que vous prétendez être) qu’une augmentation des températures moyennes et globales sur une période aussi courte n’a jamais eu lieux dans le passé. La fluctuation naturelle se faisait toujours sur des cycles longs, sauf évènements brutaux comme des éruptions de volcans et des impacts de météorites. Mais là on observait un refroidissement, pas un réchauffement. Scientifiquement et techniquement - « le nucléaire qui est … à l'origine de toute l'énergie reçue par la Terre à ce jour » est la FUSION nucléaire, processus que nous ne maîtrisons pas sur terre pour résoudre nos problèmes énergétiques.
#11 - Le 04 septembre 2019 à 10h02 par jean goychman, Guerande
@breizh44
Vous enfoncez une porte ouverte.Cependant, je ne suis pas climatosceptique, ce qui est un abus de langage, car comment pourrait_on douter de l'existence du climat? La définition courante est:
"la distribution statistique des conditions de l'atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée."
Je ne crois simplement pas à l'influence prépondérante de l'activité humaine, qui se limite de plus à l'augmentation de la concentration en CO² dans la basse atmosphère, puisse générer à elle seule ce que d'aucuns appellent "rechauffement climatique"
Le fait d'insulter les gens, comme vous aimez le faire, surtout s'ils sont proches du RN, voire élu comme moi, ne saurait vous dispenser d'étayer vos propos. Sur quels documents ou quels travaux vous appuyez vous pour attester d'une "augmentation moyenne et globale sur une période aussi courte"?
Pour ma part, j'étudie chaque mois les relevés satellites de l'UAH (Univesrité de Huntsville) qui s'est spécialisée dans ce domaine depuis 1980.
Enfin, pour revenir au sujet initial, car vous aimez bien les diversions qui vous permettent d'augmenter le champ de vos critiques acerbes et ironiques, voici un article intéressant
adc7dc_c0205a880b08499c93bac12e68a25725.pdf
Je doute cependant qu'il modifie votre vision des choses
#12 - Le 04 septembre 2019 à 11h46 par breizh44, Pornichet
M. Goychman – Le terme climato-sceptique – vous le savez sans doute bien – est communément utilisé pour désigner des gens qui, comme vous, doutent de l’influence prépondérante de l'activité humaine sur le climat.
Je ne vois pas en quoi j’aurais insulté qui que ce soit, sinon la rédaction aurait sans doute censuré mes propos, et à juste titre. Pour répondre à votre question, je vous recommande l’article suivant :
https://www.lepoint.fr/environnement/en-2-000-ans-le-rechauffement-climatique-actuel-est-inedit-25-07-2019-2326679_1927.php
Jamais les températures n’ont augmenté partout sur le globe de façon continue et sur une période aussi courte qu’aujourd’hui. Cette période commence avec la révolution industrielle à la fin du 19ème. Et vous voulez nous faire croire qu’il y a x raisons naturelles à cela mais surtout pas l’activité humaine ? Sérieux ?
#13 - Le 04 septembre 2019 à 14h43 par Lemere
@ M Goychman
Je ne retiendrai pas dans mes références le blog Breizhinfos. Leur droit d'expression est sans aucun doute et sans qu'ils ne s'en cachent d'ailleurs orienté extrême droite. Mais cela n' en fait pas une référence scientifique, pas plus que nos commentaires respectifs.
On l' aura bien compris ce qui vous gêne ce n'est pas tant que l'éolien soit une solution ( parmi d'autres) c'est qu'elle obérerait les financements du nucléaire.
Que si vous dites que le réchauffement n'est pas d'origine humaine, vous n'en niez pas le constat.
On note que vous ne demandez tout de même pas la réouverture de centrales aux autres fossiles.
Les actualités récentes montre hélas qu'il est dejà trop tard.Et qu'effectivement ou nous allons devoir réduire nos consommations d'énergies ou en mettre en œuvre qui , comme l'éolien, ne nous fassent pas prendre plus de risques que de bénéfices. Quelque soit l'origine du réchauffement. Le tout en nous garantissant une "indépendance" que les autres sources d'énergie ne nous garantissent pas ( y compris le
nucléaire). Et je m'étonne que vous ne défendiez pas plus toute source d'indépendance ?
#14 - Le 04 septembre 2019 à 19h41 par jean goychman, Guerande
Breizh44
En 2011, bien avant tout ce battage médiatique, j'avais assisté à une conférence donnée par Vincent Courtillot à la Beaujoire. On la trouve toujours sur you tube:
https://www.youtube.com/watch?v=uXeRbbM2AjY
J'ai vérifié tout ce que j'ai pu et il a raison, en particulier sur le HAL
J'ai écrit un article assez détaillé dans la revue Méthodes de decembre 2018
http://www.revuemethode.org/pdf/m1218.pdf
Je vous recommande aussi les travaux de Philippe de Larminat, ancien enseignant chercheur Centrale Nantes (que vous trouverez facilement sur le web) ainsi que la conférence et le livre de François Gervais qui dit beaucoup de choses interessantes sur les méthodes du GIEC
https://www.youtube.com/watch?v=iK3G8wqqp_k
Cette liste est non exhaustive mais commençons par là
Je sais que vous ne changerez pas d'avis mais nous parlerons sur d'autres bases que la communication mondialiste...
@ Lemere
Je vous invite naturellement à visiter les mêmes sites web
#15 - Le 05 septembre 2019 à 08h08 par Lemere
M. Goychman

Un nom dans la longue liste m'a dejà interpellé
Celui de M. Gervais

Qui n'a JAMAIS ÉTÉ membre du GIEC

Mais simplement , comme le précise sa fiche Wikipedia :"En 2011-2012, François Gervais s'est porté volontaire pour être examinateur du rapport AR5 du GIEC (à noter que F. Gervais n'avait pas été retenu parmi les experts internationaux qui ont rédigé ce rapport"
#16 - Le 05 septembre 2019 à 14h02 par breizh44, Pornichet
M. Goychman, vous basez vos convictions climato-sceptiques sur les propos de quelques personnes qui font partie d’une infime minorité dans la communauté scientifique. M. Vincent Courtillot a reçu le surnom de « chevalier de la Terre noire et plate » par ses confrères, sans doute pas sans raison. En ce qui me concerne, je préfère écouter la grande majorité qui ne cesse de livrer étude après étude prouvant la réalité du phénomène du réchauffement climatique global dû à l’activité humaine. C’est moins confortable, parce que cela m’oblige de mettre en question bien des habitudes qui me sont chères dans la vie quotidienne, mais c’est de la science sérieuse. Plus sérieux que le terme « communication mondialiste » que vous employez en pur langage FN.
#17 - Le 06 septembre 2019 à 08h28 par jean goychman, Guerande
M Lemere: Lisez bien ma phrase, je ne crois pas avoir écrit que M Gervais était membre du GIEC. Le GIEC, qui est souvent défini comme un "Groupe International d'Experts en Climatologie" est, de par sa définition même un "Groupe Intergouvernemental pour l'Evolution du Climat" qui est la traduction en français de l'IPCC (Intergouvernmental Panel for Climate Change" créé en 1988 sous l'égide de l'ONU. Force est de constater que les membres du GIEC ne le sont qu'à titre "politique" et que les qualifier d'experts en climatologie ne correspond pas à leur mission, qui est par ailleurs uniquement circonscrite à l'influence de l'activité humainr sur le changement climatique.
Vous conviendrez qu'on a plutôt tendance à entretenir cette dénomination qui confine à la confusion volontaire, proche de la mystification
Cela dit, François Gervais semble tout aussi crédible dans son discours et son parcours scientifique est établi.
#18 - Le 10 septembre 2019 à 15h16 par jean goychman, Guerande
Breizh44 Ce n'est pas ce qu'est ou n'est pas M Courtillot qui importe. C'est ce qu'il dit. Comment mesure-t-on la température moyenne de la planète? Simple question à laquelle personne ne sait répondre, pour la simple raison que les océans constituent 71% de la surface de la planéte. Interrogé par l'équipe de V Courtillot, le HAL (laboratoire anglais sur les résltats duquels'appuie le GIEC) ne fournit aucune réponse satisfaisante Rien que cela doit faire réfléchir à la suite. Quant aux températures terrestres, elles varientoutes en permanence d'un point à l'autre en fonction d'une mutitude de paramêtres. Vous remarquerez qu'on parle de réchauffement mais personne ne donne la température moyenne de départ, et pour cause. Ce que je constate, c'est que les valeurs prises pour modéliser l'atmosphére dite "standart" (ISA) utilisée dans tous les calculs de poussée pour les décollages des avions est toujours la même depuis 1945, date ou elle a été définie par l'OACI
Alors, si tous les calculs sont faux, pourquoi les faire?

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