C'est la raison pour laquelle ils ne consentent jamais à avouer qu'ils ont menti. Cela les conduit à prolonger le mensonge initial par d'autres mensonges. S'ils ne le faisaient pas, la vérité éclaterait rapidement et l'effet destructeur serait le même, voire pire.
C'est ainsi que tous, le Président Macron en tête, nous ont vendu les vertus inégalées du confinement. S'imposait-il ou non ? En tous cas les conséquences économiques vont être désastreuses et nul ne peut prévoir le futur. Pouvait-on faire autrement ? Oui, car d'autres pays ne l'ont pas fait ou du moins pas avec la même rigueur, notamment l'Allemagne.
Veut-on gouverner par la peur ? C'est un sentiment de plus en plus répandu. Pourquoi ? Question fondamentale. Prenons un peu de recul. Que s'est-il passé depuis une trentaine d'années ? L'état de peur est devenu quasi permanent, renforcé par de « états d'urgence » de plus en plus fréquents. Le tocsin médiatique ne s'arrèle plus que très briévement, le temps de reprendre son souffle...
Après la peur peut-être justifiée, d'une guerre nucléaire, nous avons eu droit successivement :
- A l'annonce d'une grande glaciation
- Au trou de la couche d'ozone
- Aux pluies acides
- Au réchauffement climatique dans les années 90
- A la rarefaction du pétrole
- Au terrorisme mondialisé et aveugle apparu en 2001
- Aux différentes épidémies type SRAS et H1N1
- Retour du réchauffement (uniquement dû à l'homme) depuis la COP 21
- Aujourd'hui, nous subissons un autre coronavirus, le COVIT19.
Or, un chercheur nommé Didier Raoult, de renommée mondiale mais inconnu du grand public, a fait entendre une petite musique pour le moins discordante. Avançant à contre-courant de l'intelligentsia médiadico-médicino scientifique, il ose dire que ce virus n'est pas si redoutable, surtout s'il est détecté à temps et facilement neutralisable dans la plupart des cas. De plus, le traitement qu'il propose, à base de médicaments connus pour certains depuis des décennies, ne coûtent presque rien puisque les brevets sont tombés depuis longtemps. Aussitôt, ce fut un concert d'invectives contre celui qui osait défier les institutions de l'ordre établi. Certains le traitèrent même (je l'ai entendu) de « climatosceptique » Alors-là, fallait quand même le faire !
En même temps, un institut de recherches de Singapour publiait, jour après jour, des graphiques montrant la coïncidence de plus en plus marquée entre les données engegistrées jour après jour dans la plupart des pays du monde. Elles indiquaient le nombre de cas d'infection relevés, au fil du temps, depuis le début de l'épidémie. Et plus on avançait, plus les données constatées se rapprochaient de la courbe d'évolution prévue. Cette fameuse « courbe en cloche » que les matheux attribuent à Gauss, est commune à toutes les épidémies. Avec humilité et simplicité, le Dr Raoult, qui la présentait aux caméras, disait qu'on ne savait pas pourquoi, mais c'était un constat universel. Toutes les épidémies présentaient, avec quelques variantes, les mêmes courbes.
Or, ces courbes montrent que, pour notre pays, nous sommes vraisemblablement en fin d'épidémie.
Sans rentrer dans des calculs compliqués, la barre des 97% va être atteinte vers le 08 mai.
De quoi s'agit-il ?
Les valeurs en bleu sont les cas déclarés chaque jour depuis le 19 février. La courbe prédictive, en rouge, délimite avec l'axe horizontal une surface qui intègre au fil du temps tous ces cas. La surface totale délimitée indique le nombre total des cas prévus. Le 08 mai sera le jour où la surface délimitée à doite de cette date correspondra à 3% du total.
Supposons, pour être plus clair, que le nombre total de cas prèvus soit de 100 000. 97 000 se seraient déclarés jusqu'au 09 mai, il en resterait 3000 à se déclarer jusqu'à la fin de l'épidémie.
Or, pays après pays, ces courbes ont la même allure, confinement ou pas. C'est ce que soulignait Didier Raoult. Nous sommes donc en fin dépidémie, ce qui se vérifie jour après jour. Pourquoi alors laisser planer un tel mystère, allant jusqu'à évoquer un éventuel reconfinement ? Le problème vient de ce que nos dirigeants politiques ne pourront pas admettre de s'être trompés, notamment sur la gravité, présentée comme exceptionnelle, de cette épidémie.
Ayant préféré mentir au début pour couvrir leurs carences, certes latentes depuis des décennies et dont toutes ne leur sont pas imputables, ils sont obligés aujourd'hui de poursuivre sur cette lancée.
Ils se sont eux-mêmes mis dans cette prison et se trouvent pris aujourd'hui dans un piège dont ils ne pourront sortir indemnes.
De nombreuses questions se posent maintenant et demeurent sans réponse :
Pourquoi avoir combattu avec une telle énergie la démarche de Didier Raoult ?
Pourquoi avoir déclarée la Chloroquinine produit vénéneux en janvier 2020 ?
Pourquoi avoir choisi un tel confinement qui fait de la France le pays le plus économiquement touché ?
Pourquoi limiter les déplacements post-confinement à 100 km pour les Français et ne pas appliquer une telle mesure aux autres ressortissants de l'espace Schengen ?
Enfin, pourquoi évoquer un redémarrage de l'épidémie alors que cela ne s'est pratiquement jamais produit ?
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