Le journal Libération a publié ce jour une « enquête » sur le Congrès des Républicains de décembre 2021 qui a permis de désigner le candidat du mouvement à l’élection présidentielle.

" Dès le début du processus de désignation, Les Républicains ont mis en oeuvre un ensemble de mesures permettant d’assurer la sécurité des opérations électorales. Celui-ci s’est déroulé sous l’autorité d’une instance de contrôle, d’un huissier de justice et d’un expert informatique indépendant chargés de s’assurer du bon déroulement du scrutin notamment du contrôle des adhésions et des opérations de vote.

Conformément aux règles définies par la CNIL, Les Républicains ont exigé le niveau de sécurité maximal auprès du prestataire chargé de la mise en oeuvre des opérations électorales.

C’est la raison pour laquelle des conditions très strictes ont été exigées afin de pouvoir participer au scrutin :

• Être à jour de cotisation avant le 16 novembre 2021

• Fournir 2 moyens d’identification : adresse postale, téléphone portable

• Limitation à 4 adhésions avec le même moyen de paiement

• Vérification d’une corrélation entre les données bancaires et les données personnelles

Ces nombreuses mesures de sécurité ont permis de définir un collège électoral en excluant de la liste des adhérents à jour de cotisation au 16 novembre 2021 ceux qui ne répondaient aux conditions énoncées précédemment.

Par un ensemble d’éléments avancés, Libération opère une confusion douteuse entre un supposé « fichier adhérents » et la liste électorale du scrutin.

S’agissant des adhérents annoncés comme « décédés » par Libération, aucun d’entre eux n’a pu prendre part au vote, soit parce qu’ils étaient effectivement décédés, soit parce que leur numéro de portable n’était pas renseigné.

Par ailleurs, Libération ironise sur la participation d’un chien prénommé « Douglas » qui aurait pris part au vote dans la région PACA. Plusieurs adhérents Les Républicains portent ce prénom. Celui cité par Libération résidant en PACA n’a pas pu prendre part au vote puisqu’il ne remplissait pas les critères demandés.

S’agissant des allégations du journal Libération sur Mayotte, l’ensemble des cas cités ont fait l’objet d’un contrôle et ont été exclus du corps électoral à l’issue de ce dernier pour non-respect des conditions demandées. Au total, 222 adhérents de Mayotte n’ont pas été intégrés au corps électoral.

Au niveau national, suite à la stricte application de nos critères de sécurité, ce sont plus de 9000 adhérents qui ont été exclus du corps électoral.

Le Congrès des Républicains a été en tous points exemplaire, tant par son organisation que par sa mobilisation, en témoigne l’absence de recours des autres candidats.

La méthode utilisée par Libération dans cette pseudo « enquête », enquête basée sur des approximations, des sous-entendus et des allégations infondées, vise clairement à délégitimer la candidate des Républicains à l’élection présidentielle.

Face à cette tentative de déstabilisation, le président des Républicains a demandé à son avocat de saisir le procureur de la République de Paris contre le journal Libération et les auteurs de cet article."

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