Depuis plusieurs semaines, il n’est guère possible d’échapper au discours qui envahit tous les médias réputés « main-stream » concernant l’absolue nécessité de vacciner tout le monde pour revenir à la vie « normale ». Ceux qui, comme moi, ont de sérieux doutes sur l’innocuité à long terme de ces vaccins qui, faut-il le rappeler, resteraient en phase dite « expérimentale » jusqu’en 2023, sont quasiment accusés d’être des criminels en puissance.

Jean Goychman

Très récemment, sur le plateau de BFM, Emmanuel Lechypre tenait les propos suivants :

"Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics. J'ai une démarche très claire: je ferais tout pour en faire des parias de la société. Vous mettez la vie des autres et la vôtre en danger. Il y a un moment où la connerie, ça suffit (…) Je les attends, appelez-nous. On vous vaccinera de force. Je les ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s'il faut!" 

Un autre sommet a également franchi par le directeur de l'ARS d'Aquitaine, Benoît Elleboode, qui déclarait dans le journal « Le Midi libre » du 03 juillet: « Toute personne non vaccinée sera contaminée par le variant Delta »


Ce principe est réaffirmé d'une façon continue depuis des décennies et accepté d'une manière quasi-universelle par les Etats signataires de la Charte des Nation-Unies. Il fait partie intégrante du « Code de Nuremberg » qui établit clairement la nécessité du consentement préalable à toute expérimentation médicale, dans ces termes :

« Ce consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L'obligation et la responsabilité d'apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l'initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s'attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie ». 

On ne saurait être plus clair.


L'argument le plus pernicieux consiste à évoquer le danger que nous ferions courir, en n'étant pas vaccinés, aux personnes que nous côtoyons. C'est une sorte de procès d'intention qui est faite aux non-vaccinés, qui seraient systématiquement porteurs du virus. C'est leur dénier tout sens moral. Il est évident que toute personne contaminée, qu'elle soit vaccinée ou non, évitera de contaminer ses proches et les statistiques indiquent jusqu'à présent un taux de contamination assez faible dans la population. De deux choses l'une : ou bien ces « victimes » sont vaccinées, ou bien elles ne le sont pas. Dans le premier cas, si le vaccin est efficace (et cela devrait être) ces gens ne risquent rien. Dans le second cas, c'est à eux qu'il appartient de se prémunir.

Mais peut-être que ces vaccins n'ont pas toute l'efficacité qu'on leur prête, efficacité qui semble par ailleurs dépendre d'un certain nombre de paramètres. Auquel cas le doute serait permis, voire conseillé.


Notamment celle du professeur Didier Raoult de l'IHU de Marseille, éminent virologue internationalement reconnu comme tel, qui, loin du tumulte et des chiffres dithyrambiques, ramène un peu de sérénité dans le débat.

Établissant ses propres statistiques, il évoque avec justesse l'éternel dilemme du « bénéfice-risque » et pose aussi la question du traitement de la maladie qui, selon lui, procurerait au patient guéri une probable meilleure immunité que celle donnée par le vaccin. 

Il est curieux de noter, à ce stade, qu'aucun traitement ne semble trouver grâce auprès des autorités sanitaires françaises, alors que certains remèdes semblent utilisés avec succès à l'étranger. Peut-être aussi que l'absence de traitement reconnu à permis de faciliter l'emploi des vaccins « expérimentaux » qui, sans cela, auraient pu être difficiles à mettre en œuvre ?


C'est, hélas, ce qui semble se profiler. N'affrontant pas directement le problème de l'obligation vaccinale, des moyens de contournement apparaissent, de plus en plus menaçants. Les « passes sanitaires » risquent de devenir des « passes vaccinaux », l'interdiction d'accès à tout un tas d'endroits ou de manifestations sont autant de signes inquiétants, sans parler d'un éventuel texte de loi imposant la vaccination à tous.

Philippe de Villiers, avec son sens de l'anticipation, parlait de la crécelle des lépreux, destinée à avertir du danger de contamination. Risquons-nous de voir bientôt apparaître les premières étoiles jaunes, de sinistre mémoire, apparaître sur la poitrine des gens qui, quelle que soit la raison, refusent de se faire vacciner ? 

Jean Goychman

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